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vendredi 1 juillet 2016

Les supports des différents ateliers de formation pour les doctorants de l'UAO

Depuis le 27 février 2016, une série d'atelier de formation pour les doctorants, au sein de l'Université Alassane Ouattara, s'est ouverte. Le premier atelier en date du 27 février, de 09h à 12h, a été animé par le docteur Ouattara Karim sur La gestion du protocole de recherche. Le deuxième atelier, qui a porté sur la rédaction d'un article scientifique, s'est tenu le 1er juin 2016 de 14h à 18hà 'Amphi C de l'UAO, avec pour conférenciers les Professeurs BAH Henri (Département de Philosophie) et BROU Emile (Département de Géographie. Le troisième atelier, le plus récent en date, s'est déroulé le jeudi 30 juin 2016 de 13h45 à 15h45. Tous ces ateliers n'ont pour intérêt que la bonne formation des doctorants. De ce fait, les supports de ces différents ateliers sont disponibles pour tous les doctorants, afin de pouvoir les consulter et les revisiter. Les différents liens de téléchargement sont disponibles sur la page Facebook du REDUAO.

mercredi 23 mars 2016

Pr. Anzoumana Ouattara (Doyen de l'UFR CMS), directeur du colloque d’Abi-Reggae : Voici les grandes stars qui seront là

Professeur à l’université de Bouaké, Anzoumana Ouattara s’occupe de la partie colloque du festival de reggae d’Abidjan lequel se tiendra du 07 au 10 avril 2016 au palais de la Culture de Treichville. En sa qualité du Directeur du colloque, le professeur explique les grandes innovations et annonce les grandes figures de cette musique qui seront à Abidjan pour la 2ème édition de Abi-Reggae. Pouvez-vous nous dresser le bilan d’Abi-Reggae de l’année écoulée ? Le bilan a été positif. Dans la mesure où le festival en lui-même, s’est bien passé. La partie musique a enregistré la venue des stars qui étaient prévues Ky-Mani Marley, I-Threes. Tout le monde était là. Sur le colloque, les grands noms attendus étaient tous là. Elikia Mbokolo, le recteur de l’université de Cheick Anta Diop était là, le fils de Marcus Garvey, Dr Julius Garvey était là. Donc, les débats ont été vraiment très riches et ont attiré un public assez nombreux de connaisseurs et d’étudiants. Dans l’ensemble, les choses se sont très bien passées. Il n’y a eu aucun problème au niveau sécuritaire. Tout a été parfaitement contrôlé. Donc, ce que je puis dire c’est que le bilan a été positif. Quelles sont les dates de la 2ème édition d’Abi-reggae? Les dates du festival sont les 7 ; 8 ; 9 et le 10 avril prochains. Là aussi, nous allons avoir trois plateformes, la scène musicale avec de grands noms comme Mountain Barouka, Julian Marley. Chez nous ici en Côte d’Ivoire, le grand Tiken Jah sera là pour accueillir tous ceux qui viennent de partout dans le monde et il y a aussi comme l’année dernière la partie colloque. Cette partie colloque se propose les thèmes suivants : la première est ’’ Des enjeux présents de la mémoire de l’esclave’’ et notamment une discussion aura lieu après avoir mis en perspectives la réhabilitation de la mémoire des esclaves. Un débat aura lieu autour des réparations. C’est une question qui a été débattue à la conférence de Durban en 2001. C’est une question importante dont le sens doit être restitué aux festivaliers parce que le vrai sens n’est pas celui qu’on dit. Il ne s’agit pas de payer les esclaves parce que de toute façon, ils sont morts. Il ne s’agit pas de payer non plus leurs descendants. C’est bien autre chose. De quoi s’agit-il alors ? Il s’agira de permettre à ce continent d’occuper la place qui doit lui revenir normalement. Ensuite, il y a un deuxième thème qui sera l’objet d’échanges. C’est le thème du ‘’ Panafricanisme économique’’. L’année dernière, on a abordé la question du panafricanisme du point de vue politique. C’est la structure du panafricanisme qu’on connaît. La lutte anticoloniale, anti- impérialiste, la façon de s’unir comme dit Dr Kwame N’Krumah pour faire face à l’adversité. Il n’y a pas cette figure-là. Il y a une figure qui est la partie économique avec la nécessité d’une sorte de solidarité des peuples noirs et partout dans le monde qui sont partis d’Afrique, qui continuent de partir. Je pense ici à la diaspora et qui a un rôle majeur dans nos économies. On ne sait pas. L’apport de la diaspora est supérieur à l’aide au développement et donc, il y aura un débat sur ce rôle-là. Il y aura un débat sur la façon dont s’organisent nos économies endogènes. Nous donner la parole aux grands leaders de cette économie africaine de s’exprimer sur tous les aspects, la croissance économique. Ce qu’il faut faire pour les jeunes et autres. Ce panel est un panel extrêmement important. Il y aura de grandes figures de la puissance économique africaine. Le troisième panel sera, véritablement, autour du reggae, autour du Rastafarisme parce que nous vivons dans un monde, où apparemment, les valeurs sont en train de disparaître. La question est qu’il est temps de se retourner aussi vers le Rastafarisme. En quoi peut-on reconnaître le Rastafarisme ? Qu’est-ce qu’ils disent ou proposent ? Quand ils disent ‘’one love’’, la dimension de la paix ce qu’ils proposent, ils proposent aussi le lien de réciprocité entre les hommes, la compression de l’autre. Regarder ce que c’est ce culte, cette religion ? Elle vient d’où ? Qui est Owell par exemple ? Donc, le fils sera à Abidjan parce qu’il était avec son pays au pinacle ou pour voir comme l’histoire s’est passée. Pour le dernier thème, les organisateurs ont maintenu une réflexion poussée sur le reggae ivoirien. Les musiciens sont là. Il y existe au plus haut niveau des artistes comme Tiken Jah, Alpha Bondy, Ismaël Isaac et nous avons pensé qu’il fallait voir de près les trajectoires de ces artistes en partant de Tangara Speed Ghoda. Tangara Speed Ghoda. Aujourd’hui, on en parle moins. Partant, c’est un artiste total et original, dont la musique doit être restituée et surtout, c’est lui qui a introduit un peu la façon de s’emparer des thèmes sociaux et puis d’aller vers les plus pauvres et il a fait quelque chose aussi dont on débattra, penser le reggae comme le temple de la connaissance. Oui ! C’est ce qu’il faut que nous fassions, c'est-à-dire quand on parle de reggae, on parle de musique mais aussi on parle de connaissance. Comment allez-vous alterner partie concert et partie colloque ? Le matin de 9h à 15h, ce sont des débats avec d’éminentes personnalités Elikia Mbokolo, Owell, Ibrahim Thioub, le recteur de l’université Cheick Anta biop, Mireille Fanon, la fille Fanon qui est la présidente du groupe des experts chargés d’examiner la question de l’Afro-descendant. C’est une question extrêmement importante puisque l’ONU a décrété la décennie 2014- 2025 comme étant la décennie des Afro- descendants. Tout cela, il faut pouvoir l’exposer au public. Cela se passe le matin et dans l’après-midi à partir de 15h la musique reprend ses droits jusqu’au lendemain matin. Les grandes stars vont se succéder. Mountain Baruka, Julian Marley. Tous vont égayer le public. Le soir, on verra Kôko Dembelé, Sarah Bob, Tiken Jah lui-même et surtout Kajeem. J’insiste sur la figure Kajeem qui est passé à un niveau supérieur. C’est la star de demain, à mon sens. Mais, cela n’engage que moi. Quelles sont les innovations Abi-Reggea 2016 ? Nous aurons la grande scène ensuite le colloque. L’innovation majeure de cette année, c’est d’introduire une dimension où les artistes plasticiens, des peintres, des sculpteurs vont organiser une exposition au palais de la Culture laquelle va se poursuivre ailleurs. Une exposition qu’on appelle le ‘’Reggae-arts’’. C’est une innovation dans le monde. De jeunes artistes de talent, des artistes ivoiriens vont venir ouvrir une nouvelle voie et traduire dans l’art, la spiritualité, la culture de la musique reggae. Et cela n’a jamais été fait nulle part. L’année dernière, Jimmy Cliff a été annoncé et il n’est pas venu. Sera-t-il là cette année ? Les stars sont stars parce qu’il y a toujours au dernier moment des renversements de situation. Jimmy Cliff sera en 2017 à Abidjan. Nous sommes en 2016, dans un festival de la croissance. 2017 sera le festival de la maturité. Et là, nous avons pris des contacts, beaucoup de contacts pour que soient présents Jimmy Cliff, Nasio Fontaine en 2017. Toutes ces grandes figures ont promis d’être là en 2017. C’est ce qu’il faut retenir. Et Chris Blackwell ? Malheureusement, il n’a pas pu venir l’année dernière et nous espérons que lui aussi sera là en 2017. On aimerait bien parce que la musique jamaïcaine est une musique fondée sur l’industrie. Il y a de grands noms qu’on ne connaît pas. Surtout de ceux qui ont fabriqué cette musique (Reggae) et Blackwell fait partie de ces capitaines d’industrie. Ce serait bien qu’il vienne un jour expliquer aux Ivoiriens comment cela se passe. Hélène Lee sera-t-elle là ? Bien sûr ! Hélène Lee sera là. C’est une grande dame qui connaît parfaitement cette musique. Elle va venir une fois de plus pour défendre enfin faire vivre cette musique reggae. Mais, aussi faire en sorte que les plus pauvres, les démunis, les fragiles soient pris en considération. Cela est un de ces grands thèmes, c'est-à-dire la défense des plus jeunes. Combien de participants sont-ils attendus à ce festival de Reggae? Sur le festival lui-même, on attend autour de 60 à 70 mille festivaliers. Sur le colloque, tous les jours, il y aura à peu près de 400, 500 personnes quelques fois plus. Pour que cet événement majeur puisse donner satisfaction à une population de plus en plus large. Ce festival-là a montré que la Côte d’Ivoire était un pays d’accueil. Tout le monde était là. Quand les festivaliers sont tous partis leur premier réflexe était de revenir. C’est que la Côte d’Ivoire est un pays qui respecte sa tradition d’hospitalité et c’est très important. Pour l’entrée du concert sera-t-elle payante ? Oui ! L’entrée est payante. Mais, vous savez que l’année dernière c’était à 1 000FCFA. Je ne sais pas, je pense que cela doit être à 2000FCFA. Le problème, n’est pas à ce niveau. Le problème est de faire une bonne organisation pour qu’il n’y ait aucun problème de sécurité. Les mesures de sécurité, croyez-moi, seront prises et que les festivaliers, aussi bien ceux qui viennent de l’extérieur etceux qui sont ici en Côte d’Ivoire. Surtout réfléchir tranquillement et faire la fête. Quel est l’appel à lancer aux ‘’Baramôgo’’ (parents) ? L’appel, c’est que plus que l’année dernière, il faut que les ‘’Baramôgo’’ soient là. Je leur annonce que Tiken sera-là et c’est leur gar. Il faut que les Baramôgo viennent aux concerts. C’est clair qu’ils vont venir. Il faut qu’ils viennent découvrir ce que font les Rastas, leur pensée d’aujourd’hui. Qu’ils viennent voir les grandes figures intellectuelles venues du monde entier. Rien que pour les voir et leur poser des questions. Et surtout leur demander comment, ces intellectuels peuvent mieux s’occuper de nous. Qu’est-ce que vous pouvez faire pour que notre sort soit amélioré… En leur posant des questions terre-à-terre, Ils seront obligés de répondre. Et je suis sûr qu’ils vont répondre parce qu’ils viennent pour cela. Les Baramôgo devraient non seulement aller voir les concerts mais aussi venir aux colloques. Il y a des personnalités économiques très fortes qui viendront aussi de Côte d’Ivoire, des chefs d’entreprises importantes du Nigéria, seront représentés. Pour eux, c’est une occasion de poser à ces capitaines d’industries, des questions les plus simples qui permettront des réponses prenant en compte leurs vies, leurs difficultés, leurs perspectives. Les jeunes, par exemple, poseront des questions sur la façon dont ils peuvent quitter les situations de sans-emploi pour certains d’entre eux. Alors est-ce qui peut être fait pour eux. Quelles sont les perspectives pour une jeunesse qui, aujourd’hui, n’aspire à qu’un emploi et être insérée dans le monde socioprofessionnel. C’est important, non seulement les ‘’Baramôgo’’ mais aussi par les étudiants qui sont nombreux. Ils trouveront matière à échange avec des panélistes, disposés à prendre leurs questions, à répondre et surtout à garder dans leur esprit des questions qui peuvent leur servir à donner des solutions.. Les débats qu’on voit seront des manières de préparer des solutions et l’année prochaine, on se retrouvera pour vérifier que les choses ont progressé. Réalisée par M.Ouattara/Coll : O.S Source : abidjan.net

samedi 2 mai 2015

vendredi 16 janvier 2015

Atelier sur la gouvernance : Chaire UNESCO de Bioéthique de l'Université Alassane Ouattara et l'Université de Bâle en Suisse

Bioéthique
La Chaire Unesco de Bioéthique de l'université Alassane Ouattara et l'Université de Bâle en Suisse ont le plaisir de porter à votre connaissance l'organisation d'un atelier sur la Gouvernance les 29 et 30 janvier 2015 au Campus 2 de l'université A. Ouattara. Par ailleurs, à cette occasion, des communications sont attendues sur les thèmes suivants pour l'animation de panels: 1. sécurité urbaine 2. Administration et société civile 3. Conflits fonciers 4. figurations architecturales et articulations sociales Tous les collègues ayant des expériences de terrain sur ces questions, en lien avec la problématique de la gouvernance sont invités à se faire connaitre en m'adressant par mail, avant le 25 janvier, un résumé de 1500 caractères maximum de leur contribution, avec le titre clairement indiqué. Cordialement ! Dr. KOUAME Yao Séverin Sociologue, Bouaké (Côte d'Ivoire)

dimanche 4 janvier 2015

Sortie de l'ouvrage ''Colonisations et société civile en Afrique'' de Pr. Edmond Kouassi Yao

Pr. Edmond Kouassi
« Colonisations et société civile en Afrique » vient de paraître chez l’Harmattan, il traite de l’étude de l’Afrique, de l’État de droit, de l’intégration démocratique nationale et post-nationale, de l’éthique, de la confiance institutionnelle, de la société civile et des droits de l’homme a sans nul doute partie liée à la reconstruction entreprise par Habermas pour expliquer, par la métaphore de la colonisation du monde vécu, l’érosion de la culture, de la société et de la personnalité, les trois composantes cardinales du monde quotidien. Parce qu’une telle colonisation renvoie au modèle colonialiste historique et classique qui a consisté en la désagrégation des sociétés archaïques par des conquérants issus de sociétés étatisées, et qu’elle a entraîné la déréglementation des cadres tribaux de perception de soi et le calvaire des colonisés, le défi politique majeur pour l’Afrique est la décolonisation systémique. Pareille décolonisation est à organiser sur les cendres de la colonisation historique. Elle sera l’affaire des citoyens volontaires des sociétés civiles vivaces ou ne sera pas, à moins d’attendre le salut de l’Afrique d’un État interventionniste. L’auteur, Yao-Edmond Kouassi, est maître de conférences en philosophie politique, sociale et juridique, est enseignant-chercheur à l’Université Alassane Ouattara (Bouaké, Côte d’Ivoire). Il a publié Habermas et la solidarité en Afrique, ouvrage paru en 2011, chez L’Harmattan. Il est engagé dans différents programmes de recherche en philosophie contemporaine, en relation étroite avec la composante Normes, sociétés et philosophies (NoSophi) de l’équipe de recherche de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, dirigée par Jean-François Kervégan. Extraits P. 136 Si l’on peut donc lutter contre l’État national, il faut défendre les fonctions « universelles » qu’il remplit et au succès duquel participe le patriotisme constitutionnel . Il implique que les acteurs de l’histoire ivoirienne se saisissent comme des acteurs d’une histoire universelle qui n’a pas pour seul sujet la société politique ; la société civile vaut autant que la société politique comme sujet de l’histoire ; seulement, elle a à inscrire résolument son agir dans le tissu social dont les motifs bigarrés traduisent des attentes sociales multiples d’hommes et de femmes en crise de paix, de logement, d’emploi, d’environnement, d’identité culturelle, de solidarité, etc. Ce sont avant tout des problèmes sociaux que l’aveuglement idéologique des bourgeois indigènes donnerait pour autre chose. (…) P. 154-155 Le registre de l’administration, en tant que colonisation systémique étatique, a ses faiblesses qui marquent la citoyenneté, ses ambigüités que signale, en plus de la catégorie de citoyens du monde, la distinction proposée par Habermas entre « nations de peuples et nation de citoyens » , tenant ainsi les seconds pour des populations habituées à la liberté, et les premiers pour des hordes de peuplades à moderniser. L’habitude de la liberté qui confère à l’homme de la cité l’effectivité de son statut de citoyen est aussi l’index de l’intellectuel qui a appris les coutumes de la liberté pour savoir s’en servir à son propre profit, mais également au profit des autres. Point n’est alors besoin, dans ce contexte, d’intellectuels de gauche, de droite ou de l’Universel. La médiation intellectuelle dans les espaces étatiques post-coloniaux est si décisive qu’elle porte en creux l’attitude largement discutable des élites africaines. Les plaintes dont elles font l’objet, sont si nombreuses qu’il n’y a aucun mérite à les rappeler. Rappelons tout simplement ces notes pédagogiques et optimistes de Jean Godefroy Bidima qui visent l’éthique procédurale de la discussion appliquée (à appliquer) à la palabre africaine, au droit et à la citoyenneté engagée. La palabre est, selon Bidima, le lieu par excellence de la procédure. Tout y est, pour lui, objet d’une négociation, d’un conciliabule, d’une consultation d’autrui. « La procédure est, écrit-il explicitement, la médiation moderne qui permet la distance, le détour du symbole. L’opinion droite est aussi prise en charge par la palabre. Ce qui implique l’urgence pour la démocratie de toujours procéder à une archéologie du droit afin de surprendre les préjugés mythiques et éthiques à partir desquels il [le droit] se nourrit. La procédure et l’opinion droite, dimensions essentielles de la palabre, supposent des citoyens » . De l’engagement de ces derniers dépend, réaffirmons-le, la décolonisation historique et systémique des espaces politiques post-coloniaux africains qui ne le sont pas encore. Ils ont à s’engager, il faut le redire, à partir des conquêtes et des énergies utopiques du paradigme de l’Agir communicationnel, qui seraient sans suite, si en tant que volontaires de la société civile-vivace ayant pris conscience de telles énergies, ils n’agissaient pas pour contrebalancer les déficits de la pacification, de l’intégration et de la stabilisation de leurs sociétés respectives, puis de la société mondiale, par l’Administration et de l’Argent. Source de l'article et de la photo : abidjan.net